Le chemin qui mène à toi,
Même semé d’embuches,
Je l'emprunte,
Comme l'abeille à la ruche,
Je prépare ma danse.
Les chemins de traverses,
Je les connais,
Après une grosse averse,
Le soleil apparaît,
Parfois même,
Un arc en ciel
déploie ses ailes.
Les chemins qui mènent aux étoiles,
Ne font que briller,
Au milieu des paysages,
Que personne ne veut prendre,
Désertés et sauvages,
Je sais m'y étendre.
Avec mes bottes,
Je prends mon élan,
Jusqu'à toi je saute,
Au dessus des cieux,
Où si tu préfères,
D'un pas lent et silencieux,
Doucement je t'escorte.
Car pour rejoindre
Le rayon bleu,
L'étoile du matin rose,
Il faut couver le feu,
Sinon elle explose,
Sans joindre.
Il n'y a pas d'attente,
Plus belle que celle,
D'un amour lointain,
Inaccessible étoile,
Qui ouvre le matin,
De mille feux.
Même semé d’embuches,
Je l'emprunte,
Comme l'abeille à la ruche,
Je prépare ma danse.
Les chemins de traverses,
Je les connais,
Après une grosse averse,
Le soleil apparaît,
Parfois même,
Un arc en ciel
déploie ses ailes.
Les chemins qui mènent aux étoiles,
Ne font que briller,
Au milieu des paysages,
Que personne ne veut prendre,
Désertés et sauvages,
Je sais m'y étendre.
Avec mes bottes,
Je prends mon élan,
Jusqu'à toi je saute,
Au dessus des cieux,
Où si tu préfères,
D'un pas lent et silencieux,
Doucement je t'escorte.
Car pour rejoindre
Le rayon bleu,
L'étoile du matin rose,
Il faut couver le feu,
Sinon elle explose,
Sans joindre.
Il n'y a pas d'attente,
Plus belle que celle,
D'un amour lointain,
Inaccessible étoile,
Qui ouvre le matin,
De mille feux.