Ce matin,
Quatre goélands au vent,
En partance pour l’errance,
M’ont soufflé à l’oreille,
De venir avec eux,
Vers de lointain pays,
Vers des cieux toujours bleus.
Vers de lointain pays,
Vers des cieux toujours bleus.
De leur vol majestueux,
De leurs puissantes ailes,
De leurs puissantes ailes,
Ils m’ont fait oublier,
Mon âme tourmentée.
Mon âme tourmentée.
Quand le ciel s’ouvre à eux,
Il s’ouvre aussi à moi,
Il s’ouvre aussi à moi,
Dans un éclat de joie,
Alors resplendit,
La lumière de mon cœur.
M.
Alors resplendit,
La lumière de mon cœur.
M.
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