Guignol aux Tuileries - Alfred Eisenstaedt Pour LIFE - 1963
Donne-moi ta main,
Que je me perde,
Dans les lignes du destin,
Épouser ton mystère.
Donne-moi ta main,
Qui inonde,
Par sa lumière,
Comme un phare, la mer.
Donne-moi ta main,
Que sa chaleur,
Adoucisse les prémices,
De ma torpeur.
Donne-moi ta main,
Que j'y mette un p'tit rien,
De mon chemin,
Un baiser fou.
Donne-moi ta main,
Car deux mains,
La lumière luira en moi,
Que je me perde,
Dans les lignes du destin,
Épouser ton mystère.
Donne-moi ta main,
Qui inonde,
Par sa lumière,
Comme un phare, la mer.
Donne-moi ta main,
Que sa chaleur,
Adoucisse les prémices,
De ma torpeur.
Donne-moi ta main,
Que j'y mette un p'tit rien,
De mon chemin,
Un baiser fou.
Donne-moi ta main,
Car deux mains,
La lumière luira en moi,
Dans l'éternité.
Donne-moi ta main,
Que j'y verse,
La beauté,
D'un instant ailé.
Donne-moi ta main,
Pas une poignée,
Une serrée,
Pas une poignée,
Une serrée,
Que je vais garder.
M.
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